Bleu, blanc, sang, tome 1 - Bleu
V.O : -
Auteur : Bertrand Puard
Editions : Hachette
Collection : Black Moon
Nombre de pages : 297 pages
Date de parution : 12 Octobre 2016
Saga : Bleu, blanc, sang
Nombre de tomes : 3
Format : Grand
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5 juin 2018.
Tandis que l’on célèbre à Notre-Dame l’enterrement du Président de la République mort tragiquement quelques jours auparavant, un convoi transportant une toile d’une artiste du xviiie siècle inconnue, Justine Latour-Maupaz, est pulvérisé au lance-roquette sur une autoroute du centre de la France. Au même instant, à New York, une œuvre de la même artiste est adjugée pour la somme inouïe de 53 millions de dollars. Pour quelles raisons des forces obscures cherchent-elles à détruire précipitamment, ou à s’approprier soudainement, les travaux de cette peintre ignorée ? À qui profite ce regain d’intérêt ? Eva Brunante, dont le père, seul exégète de la peintre, a disparu, va se lancer dans une enquête aux ramifications politico-financières vertigineuses. Bienvenue dans la république Bleu Blanc Sang !
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Bien que Bertrand Puard soit connu pour sa saga Les Effacés et quelques autres one-shot, je n'ai pas eu l'occasion de le connaître avant Bleu, blanc, sang et rien qu'avec ce premier tome, je trouve l'auteur très tordu, mais dans le bon sens du terme.
La politique est un sujet propice aux engueulades par faute de divergence de points de vue, ce qui me fait difficilement m'intéresser à cela, bien que ce soit important, j'en ai conscience. Alors quand j'ai vu que c'était une part importante du roman, j'ai pris peur, mais cela c'est adoucit avec ces toiles d'une même peintre, Justine Latour-Maupaz, l'une détruite, l'autre achetée une fortune. C'est principalement toute l'intrigue autour des toiles qui m'a fait tenir, puis apprécier ma lecture.
Alors au début, il est vrai que l'histoire paraît un peu fouillie : nous rentrons tout de suite dans le vif du sujet et donc beaucoup de personnes interviennent, mais avec quelques explications, on s'en sort bien et on se lance.
Avec du recul, je dois dire que l'auteur arrive parfaitement bien à manier sa plume et intégrer la politique d'une façon qu'on aime la voir : Complot et magouilles. Plus on lit, plus on pense à des complots tordus, comme on l'imagine dans notre politique acutelle, mais ce que l'on apprend dans ce premier tome est beaucoup plus délicat et touchant.
Ce qui est le plus glaçant dans cette histoire, c'est la date précise dès le début : 2018, soit très prochainement, ce qui place le roman dans le temps et il ne reste qu'au lecteur à imaginer et se laisser guider ...
En résumé, ce premier roman tape fort et dès le début, bien que l'on soit un peu perdu, on finit rapidement par prendre ses marques et courir après le temps, comme les personnages.
Le roman en lui-même est très bien tenu, assez tordu, mais dans le bon sens du terme, ce qui permet au lecteur d'intégrer le côté policier et mener son enquête aussi.
Pour les plus jeunes, c'est une façon de parler politique, en ces temps qui court ... Mais dans son ensemble, je l'ai trouvé très divertissant. La suite peut être encore plus forte et je compte bien continuer !
La politique est un sujet propice aux engueulades par faute de divergence de points de vue, ce qui me fait difficilement m'intéresser à cela, bien que ce soit important, j'en ai conscience. Alors quand j'ai vu que c'était une part importante du roman, j'ai pris peur, mais cela c'est adoucit avec ces toiles d'une même peintre, Justine Latour-Maupaz, l'une détruite, l'autre achetée une fortune. C'est principalement toute l'intrigue autour des toiles qui m'a fait tenir, puis apprécier ma lecture.
Alors au début, il est vrai que l'histoire paraît un peu fouillie : nous rentrons tout de suite dans le vif du sujet et donc beaucoup de personnes interviennent, mais avec quelques explications, on s'en sort bien et on se lance.
Avec du recul, je dois dire que l'auteur arrive parfaitement bien à manier sa plume et intégrer la politique d'une façon qu'on aime la voir : Complot et magouilles. Plus on lit, plus on pense à des complots tordus, comme on l'imagine dans notre politique acutelle, mais ce que l'on apprend dans ce premier tome est beaucoup plus délicat et touchant.
Ce qui est le plus glaçant dans cette histoire, c'est la date précise dès le début : 2018, soit très prochainement, ce qui place le roman dans le temps et il ne reste qu'au lecteur à imaginer et se laisser guider ...
En résumé, ce premier roman tape fort et dès le début, bien que l'on soit un peu perdu, on finit rapidement par prendre ses marques et courir après le temps, comme les personnages.
Le roman en lui-même est très bien tenu, assez tordu, mais dans le bon sens du terme, ce qui permet au lecteur d'intégrer le côté policier et mener son enquête aussi.
Pour les plus jeunes, c'est une façon de parler politique, en ces temps qui court ... Mais dans son ensemble, je l'ai trouvé très divertissant. La suite peut être encore plus forte et je compte bien continuer !
Je dois dire que même si je vois ce livre un peu partout sur la blogosphère en ce moment, le synopsis ne m'a pas forcément envie de la découvrir. Par contre, c'est un sujet intéressant que l'on voit rarement dans les romans jeunesse alors je pense que je vais me laisser tenter !
RépondreSupprimerJ'hésite encore à me lancer dans cette trilogie car je ne sais pas si c'est le genre d'histoires que j'ai vraiment envie de lire en ce moment, mais ta chronique me fait y réfléchir !
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